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Comment comptabiliser les dépenses de réparation et d’entretien ?

Pour maintenir les immobilisations dans un état impeccable, bon nombre de sociétés engagent de façon régulière des sommes dédiées aux dépenses de réparation et d’entretien. Mais une question se pose s’il est impératif de les comptabiliser en immobilisations ou en charges. Dans cet article, vous allez découvrir plus de détails concernant ces opérations comptables.

Frais de réparation et d’entretien : faut-il les amortir ou les déduire ?

En général, les frais destinés à la réparation et à l’entretien caractérisent en comptabilité soit des actifs amortissables, soit des charges déductibles. En tant que composant d’une immobilisation, les dépenses de remplacement d’un élément inscrit à l’actif doivent être obligatoirement immobilisées. Pourtant, les frais périodiques ou courants de réparation ou d’entretien ne constituent pas dans le remplacement d’un élément, mais plutôt des charges promptement déductibles.

  • Dépenses courantes de réparation et d’entretien

Pour les dépenses relevant d’une apparition d’un nouveau composant actif et qui se traduit par la prolongation notable de la durée d’utilisation ou encore une augmentation de la valeur de tous les éléments déjà existants doivent être immobilisées par un cabinet d’expertise comptable à Saint-Gilles.

Deux sortes de dépenses devraient être distinguées par les structures réalisant de nombreux ouvrages d’entretien déductibles sur un bien alors qu’elles effectuent en même temps un remplacement d’un de ses éléments par le biais de la comptabilité analytique ou d’une facture détaillée. L’inscription du coût du nouvel élément acquis en remplacement doit être en effet établie séparément.

Il existe d’un certain nombre de travaux d’entretien courant relatifs aux constructions qui peuvent être immédiatement déductibles. Ce sont en principe tous les travaux périodiques d’électricité, de menuiserie, de plomberie, de réparation ponctuelle, de nettoyage, de vitrerie, de pose de papier peint voire de peinture. Cela concerne également les frais de réfection de modification des revêtements de sol.

  • Dépenses de grandes révisions, d’aménagements, d’agencements et d’installations

Les dépenses de grandes révisions et de gros entretien sont admises fiscalement et en comptabilité. Elles ne sont pas pourtant inscrites dans le compte actif car ce sont des charges déductibles immédiatement. Quant aux installations en général, elles doivent être amorties et immobilisées par le cabinet d’expertise comptable à Saint-Gilles, Ixelles et à Bruxelles. Ces dépenses englobent souvent les systèmes de protection antivol, le téléphone, la plomberie, l’électricité, la climatisation, le chauffage, etc.

Par ailleurs, les travaux d’agencement, c’est-à-dire ceux qui font pour objet de transformation totale ou de changement complet de la localité (transformation d’un logement en bureaux de travail, modification des pièces, de la distribution ou encore de création d’installations sanitaires) doivent être amortis et immobilisés. Ce procédé est valable aussi pour les travaux de décoration (pose de volets roulants, acquisition d’un placard, d’un tapis, etc) ainsi que pour les travaux d’aménagement d’intérieur.

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