L’infogérance informatique consiste pour une entreprise à faire appel à un spécialiste en externe pour gérer et assurer la maintenance de son système informatique. La sous-traitance allège ses propres équipes et accroît sa rentabilité.
Gain de temps et d’argent grâce au Cloud computing
Le Cloud computing est une solution d’infogérance de parc informatique de plus en plus courante pour les sociétés qui choisissent l’externalisation. Dans le cadre d’un tel contrat, l’ensemble de ses ressources (archives, applications) est hébergé dans le Cloud et est par conséquent accessible à distance.
À toute heure du jour et de la nuit, où que l’utilisateur se trouve dans le monde, il lui suffit de disposer d’un appareil connecté à internet (ordinateur portable, téléphone portable, tablette numérique), pour accéder aux programmes et données dont il a besoin pour travailler.
Cette technologie évite des dépenses importantes pour l’achat et l’installation d’un serveur en interne, sans compter les charges de personnel fixes. Toutes ces prestations sont comprises dans l’offre d’hébergement du prestataire.
Le Cloud computing est donc source d’économies pour l’entreprise tout en lui faisant bénéficier d’une large gamme de services de qualité et faciles à utiliser. Elle permet également un gain de temps précieux : libérés de ces tâches, les salariés peuvent se consacrer à des activités à plus forte valeur ajoutée.
Une solution efficace pour garantir la sécurité des données
Pour l’entreprise qui confie ses données informatiques à un tiers, la question de leur sécurité est cruciale. La loi pose des règles très strictes dans ce domaine, la confidentialité des informations étant un sujet de préoccupation majeure, aussi bien pour les particuliers que pour les professionnels. Les conditions de stockage, d’utilisation et de partage de l’ensemble des données s’inscrivent dans un cadre réglementaire précis et sévère.
Ces obligations font de l’infogérance de parc informatique via le Cloud une solution plus sûre que la conservation des données sur un serveur physique local. En effet, ce dernier est exposé aux risques de vol, d’incendie, de panne, etc. Cela signifie d’une part la potentielle perte d’un capital d’une valeur inestimable pour l’organisation, mais aussi des perturbations dans le fonctionnement des logiciels, voire l’interruption de l’activité.
Avec un Cloud privé, seuls les utilisateurs désignés par l’entreprise ont accès à une plateforme hautement sécurisée qui lui laisse un contrôle complet sur ses contenus et son infrastructure informatique. Bien que légèrement plus coûteuse, cette option connaît un succès croissant auprès des dirigeants et des DSI.
Table de matières